Contactez-nous
Contactez nous

    Nom*

    Prénom*

    Mail*

    Téléphone*

    Votre message


    *Champs requis.
    En utilisant ce formulaire, vous consentez à ce que nous collections vos données à caractère personnel et à ce que nous les traitions comme indiqué dans la présente
    politique de protection des données.
    La durée de conservation de ces données n'excède pas 6 mois.

    2023 est une année mouvementée qui risque d'influencer votre projet immobilier et nous allons voir pourquoi dans cet article.

    Pour rappel, notre agence immobilière GSI à Toulouse est spécialisée en syndic à Toulouse et vous accompagne dans la gestion de votre immeuble.

    Le dispositif Pinel + en 2023

    Le dispositif Pinel, tel que nous le connaissons aujourd'hui, va évoluer avant d'être supprimé en décembre 2024.

    L'avantage fiscal sera réduit une première fois en janvier, puis à nouveau en janvier 2024, avant de disparaître totalement.

    Pour les biens loués pendant 12 ans en loi Pinel, la réduction d'impôt sera de 17,5 % en 2023 et de 14 % en 2024, contre 21 % l'an dernier. Il sera toutefois possible de bénéficier de la totalité de la réduction d'impôt (taux 2022) en 2023 et 2024 en optant pour le Pinel + ou le Super Pinel. Pour cela, il faut que le bien immobilier présente un certain niveau de qualité d'usage et de confort :

    Une surface habitable minimale de 28m² pour le T1, 45m² pour le T2, 62m² pour le T3, 79m² pour le T4, 96m² pour le T5.
    Des espaces extérieurs privatifs d'au moins 3m² pour le T1 ou le T2, 5m² pour le T3, 7m² pour le T4, 9m² pour le T5.
    Deux orientations différentes pour les appartements T3 et plus

    Evolution du dispositif MaPrimeRenov'

    La question de la rénovation énergétique occupera assurément une place importante cette année ! Le programme MaPrimeRénov' de soutien à la rénovation énergétique des logements sera développé en 2023. Cette année, le périmètre du programme sera porté à 2,5 milliards d'euros.

    La mesure MaPrimeRénov' en faveur des associations de propriétaires sera poursuivie et renforcée par le relèvement des plafonds de travaux financés et le doublement des contributions individuelles versées aux ménages très modestes et modestes.

    Par ailleurs, le programme exceptionnel MaPrimeRénov' "Rénovation globale" continuera à être développé pour les ménages à revenus moyens et élevés qui réalisent des travaux permettant un gain énergétique supérieur à 55%.

    Ce qu'il faut savoir sur le dispositif MaPrimeRenov en 2023:

    Le programme "MaPrimeRénov" ne subventionnera plus l'achat de chaudières à gaz.
    À partir du 1er février, le montant de la subvention pour l'achat d'une ventilation mécanique contrôlée et l'achat d'un poêle à granulés sera également réduit.
    La prime de 1 000 euros pour le remplacement d'une chaudière à mazout ou à gaz par un appareil à énergie renouvelable, mise en place temporairement dans le cadre du "Plan de développement durable", prendra fin le 1er avril.

    Le PTZ sera prolongée pour l'année

    Les primo-accédants peuvent bénéficier du Prêt à Taux Zéro pour l'acquisition d'une résidence principale.

    Comme le dispositif Pinel, le PTZ a finalement été prolongé jusqu'à la fin de l'année afin de s'adapter aux conditions actuelles. Le PTZ peut couvrir jusqu'à 40 % du montant total de la transaction pour l'achat d'un logement neuf dans les zones les plus densément peuplées (A, A bis et B1) et jusqu'à 20 % dans les autres zones (B2 et C).

    Elle peut également être accordée pour l'achat d'une propriété existante dans les zones B2 et C, à condition que la classe énergétique change de manière significative.

    Le lancement de Ma Prime Adapt'

    Cette aide gouvernementale s'adresse aux propriétaires de plus de 70 ans et vise à améliorer les conditions de vie des personnes âgées en les adaptant aux nouveaux besoins liés à la perte d'autonomie et de mobilité. Ma Prime Adapt permet de financer certains aménagements ergonomiques du logement ou l'installation d'équipements si certains critères sont remplis. L'objectif final est de rationaliser les coûts en encourageant les personnes à rester à leur domicile au lieu d'un hébergement coûteux dans des maisons de retraite spécialisées.

    Les mesures de sécurité visant à réduire le risque de chute des personnes âgées sont particulièrement concernées. Elles entraînent des décès prématurés (environ 10 000 par an, 130 000 hospitalisations) et des accidents domestiques. Le document fait partie des mesures prises par le gouvernement dans le cadre du plan anti-chutes, qui vise à réduire de 20 % le nombre de chutes chez les personnes âgées d'ici à 2025. Environ 500 000 personnes sont concernées et le plan vise à aider en particulier les personnes qui perçoivent des pensions modestes. Il concernera 680 000 ménages français, soit 70 000 ménages par an d'ici 2032.

     

    Vous souhaitez devenir propriétaire à Toulouse ? investir dans l'immobilier locatif peut être une excellente façon de constituer un patrimoine et de générer des revenus complémentaires. Cependant, il est important de savoir comment rentabiliser son investissement locatif. Voici quelques éléments à prendre en compte. Tout d'abord, il est important de bien choisir le bien immobilier dans lequel investir. Il est recommandé de privilégier les biens situés dans des zones où la demande locative est forte à Toulouse ou les quartiers où la croissance urbaine est en hausse. Il est également conseillé d'investir dans des biens immobiliers neufs qui disposent d'un bon potentiel de revente ou de vote à l'occasion de l'acquisition de dispositifs comme la loi Pinel, le dispositif Bouvard ou le régime Malraux.

    Ensuite, il convient d'optimiser la gestion locative du bien immobilier. Cela passe par une mise en location rapide du bien, en proposant des loyers attractifs et en choisissant des locataires solvables. Il est également recommandé de souscrire une assurance loyers impayés, qui peut être particulièrement utile en cas de difficultés financières du locataire. Chez Gsi, leader du syndic de copropriété à Toulouse,nous assurons aussi la gestion locative ce qui vous permet de gagner du temps et de sécuriser les revenus locatifs. Un autre point important pour rentabiliser son investissement locatif est de bien gérer la fiscalité.

    Les investisseurs peuvent bénéficier de nombreux avantages fiscaux, tels que la réduction d'impôt accordée par le dispositif Pinel ou la possibilité de déduire les intérêts d'emprunts et les frais de notaire de leur revenu foncier. Il est donc essentiel de bien comprendre la fiscalité applicable à l'investissement immobilier locatif et de profiter des dispositifs fiscaux disponibles. Enfin, il est important de calculer la rentabilité de son investissement locatif. Cela peut être fait en prenant en compte le prix d'achat du bien, les frais d'acquisition, les frais de gestion et les revenus locatifs perçus. Il est également important de prendre en compte les charges, comme la taxe foncière, les travaux de rénovation ou la vacance locative.

    Une fois toutes ces données prises en compte, il est possible de calculer la rentabilité brute et la rentabilité nette de l'investissement. Mais quel type d'appartements à Toulouse devez vous acheter pour la mettre en location ?

    Investissement locatif à Toulouse :

    le choix du Studio

    La plupart des investisseurs toulousains s'intéressent d'abord aux studios pour plusieurs raisons.

    Tout d'abord, il permet de réaliser un investissement locatif même si l'on dispose d'un faible capital.

    A Toulouse comme d’autres villes et avec moins de 100 000 euros, vous pouvez facilement investir dans un studio. Dans ce cas, vous pourrez contracter un prêt moins important pour une durée plus courte.

    Par ailleurs, lors de l'achat d'un appartement neuf, vous pouvez profiter du dispositif Pinel et investir dans les villes les plus chères, tout en respectant le plafond de 300 000 €.

    L'achat d'un studio ou d'un petit appartement destiné à la location vous permettra d'obtenir un revenu locatif plus élevé. Plus la surface du bien est petite, plus le loyer au m² est élevé. Le rendement de la location d'un petit appartement peut atteindre 7 % par an.

    Bon à savoir : Lorsque vous choisissez un appartement type studio, il est important de garder à l'esprit que le changement de locataire sera plus fréquent. La surface ne dépassant généralement pas 30 m², les locations de courte durée sont privilégiées avec notamment des plateformes comme Airbnb. Si vous souhaitez gagner du temps, vous pouvez opter pour la gestion locative. Ce choix présente de nombreux avantages, notamment celui d'assurer la sécurité de votre investissement à un prix raisonnable.

    le choix du T2 ou T3

    Si vous disposez d'un budget plus important et que vous préférez la stabilité à la rentabilité, l'achat d'un appartement de 2 ou 3 pièces est fait pour vous à Toulouse.

    Ce type d'appartement est plus souvent acheté par des jeunes couples ou des familles avec un enfant, qui resteront probablement plus longtemps dans le logement. Si vous souhaitez louer l'appartement pendant quelques années, il est plus intéressant pour vous d'investir dans ce type de bien. Enfin, ce type de bien est intéressant si vous souhaitez déménager ou l'utiliser comme résidence secondaire.

    le choix du T4

    Si votre budget est plus important, vous pouvez investir dans un appartement de quatre pièces ou plus ! Ces appartements sont particulièrement appréciés des familles et sont donc des locataires potentiels à long terme !

    Notez également que les très grands appartements dans des immeubles neufs sont une denrée rare pour les locataires ! En général, les grandes surfaces ne représentent que 10 % des biens disponibles sur le marché locatif, alors que la demande des familles est très forte. Ainsi, un "appartement neuf" présentant de nombreux avantages, vous n'aurez aucun mal à le mettre en location.

    En conclusion, rentabiliser son investissement locatif passe par une approche globale qui prend en compte plusieurs aspects, tels que le choix du bien immobilier, la gestion locative, la fiscalité et le calcul de la rentabilité. En respectant ces principes, il est possible de générer des revenus locatifs réguliers et de constituer un patrimoine immobilier rentable à long terme.

    La rénovation énergétique est devenue un enjeu majeur pour les ménages français. Avec la mise en place de la transition énergétique,  les travaux de rénovation énergétique sont encouragés et de nombreuses aides financières existent. Dans ce contexte, certains se demandent s'il est vraiment nécessaire de réaliser des travaux de rénovation avant de vendre un bien immobilier. En réalité, la rénovation énergétique est essentielle avant de vendre en 2023 pour plusieurs raisons. Tout d abord, la rénovation énergétique permet d améliorer la performance énergétique globale du bâtiment. En effet, selon l'Agence Nationale de l'Habitat ANAH , les copropriétés et les résidences principales construites avant 1975 ont une mauvaise performance énergétique.  Si le diagnostic de performance énergétique DPE est obligatoire pour toutes les ventes à partir de 2023, il est vivement recommandé de réaliser des travaux de rénovation énergétique pour améliorer les performances énergétiques des bâtiments.

    Rénovation énergétique, la lutte contre les passoires thermiques !

    La rénovation énergétique permet de réaliser des économies d'énergie importantes surtout pour les passoires thermiques qui sont nombreuses en France. Les occupants du bâtiment pourront ainsi réduire leur facture énergétique tout en adoptant des comportements plus éco-responsables. Les bailleurs pourront quant à eux proposer des logements avec des charges locatives moins élevées, ce qui est un avantage pour attirer des locataires.  Les travaux de rénovation énergétique peuvent également conférer un avantage concurrentiel au propriétaire qui souhaite vendre son bien immobilier. En effet, les acquéreurs privilégient de plus en plus les biens immobiliers éco-responsables, avec une bonne performance énergétique.  En rénovant leur bien immobilier, les propriétaires peuvent ainsi augmenter leur valeur vénale. De plus, les travaux de rénovation énergétique peuvent être financés via des aides publiques,  comme l'ANAH,  qui peut proposer un prêt à taux zéro PTZ ou des subventions pour les ménages modestes. Le crédit d'impôt pour la transition énergétique CITE permet également de bénéficier d'un taux réduit pour certains travaux d'économies d'énergie.  Les fournisseurs d'énergie peuvent également proposer des primes énergie ou des certificats d'économie d'énergie CEE aux propriétaires effectuant des travaux d'économie d'énergie.  Enfin, la rénovation énergétique est une condition importante pour lutter contre la précarité énergétique.  De nombreuses personnes se trouvent en situation de précarité énergétique,  c'est-à-dire qu'elles consacrent une part trop importante de leurs revenus à la consommation d'énergie.  En améliorant la performance énergétique des bâtiments, les ménages modestes pourront également réduire leur facture énergétique et améliorer leur qualité de vie.

    L’isolation, acteur majeur de la rénovation énergétique ?

    Depuis que le gouvernement a introduit de nouvelles interdictions de louer des logements isolés sur le marché immobilier, les logements avec un mauvais DPE n'ont plus la cote. En effet, dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique, le gouvernement a lancé une chasse aux logements mal isolés et a introduit trois réductions afin d'inciter les propriétaires à réaliser des travaux d'amélioration de la performance énergétique. A partir du 1er janvier 2025, les logements de catégorie G ne pourront plus être mis sur le marché de la location. Ensuite, à partir de 2028, les logements de catégorie E seront autorisés et enfin, à partir du 1er janvier 2034, les logements de catégorie E seront autorisés. Les logements adaptés sont disponibles en très grand nombre en France. Il y en aura 600.000 pour la classe énergétique E, 1.200.000 pour la classe F et plus de 2.600.000 pour les DPE avec la classe E.

    Au vu de la problématique du climat et de la large couverture politique et médiatique, les logements thermiques sont aujourd'hui sur toutes les lèvres. Et comme si la motivation écologique ne suffisait pas à éveiller les consciences, l'aspect économique ne se fera pas attendre. Les difficultés annoncées en matière d'approvisionnement énergétique, qui entraînent des augmentations considérables des factures de gaz et d'électricité, sèment la panique parmi les candidats à l'achat et ébranlent l'ordre du marché immobilier.

    En résumé, la rénovation énergétique est essentielle avant de vendre en 2023 pour améliorer la performance énergétique globale des bâtiments, réaliser des économies d'énergie,  conférer un avantage concurrentiel, bénéficier d'aides publiques et lutter contre la précarité énergétique.  Il est donc vivement recommandé pour les propriétaires de réaliser des travaux de rénovation énergétique pour améliorer leur bien immobilier et augmenter sa valeur vénale

    Rénovation énergétique, et pour les copropriétés ?

    Alors que l'État encourage et accompagne activement les propriétaires et les syndics dans leurs travaux de rénovation thermique en allouant un budget pour soutenir les travaux énergétiques, l'application dans les HLM semble ralentir de part et d'autre. Comme c'est principalement l'isolation thermique de la façade extérieure qui va de pair avec l'isolation de la toiture, il est difficile de mettre en œuvre les améliorations du DPE dans les bâtiments sur place. Pour engager une telle procédure, l'accord de la majorité des copropriétaires réunis en assemblée générale est nécessaire, et c'est là que le bât blesse. Le manque d'acteurs, les désaccords entre copropriétaires, la méconnaissance du sujet et les contraintes financières rendent souvent difficile la prise de conscience de l'importance de l'amélioration à grande échelle de la performance thermique des bâtiments résidentiels.

    Vous avez acheté un véhicule électrique et vous vivez dans un immeuble en copropriété à Toulouse.

    Saviez vous que votre copropriété peut bénéficier de certaines aides ou subventions pour l'achat et l'installation de bornes de recharge électrique ?

    En habitat collectif, un syndicat de copropriété est réellement encouragé à installer une ou plusieurs bornes de recharge dans le parking privatif de votre immeuble.

    Les copropriétaires peuvent bénéficier de plusieurs subventions dans le cadre du programme Advenir sur le site https://avere-france.org (Association pour l'avancement de la mobilité électrique).

    En cas d'utilisation partagée, c'est-à-dire lorsque la recharge est accessible à tous les résidents pour leur propre voiture, le syndic de la maison peut bénéficier d'une aide de 50 %, plafonnée à 1 660 €. Pour bénéficier de la prime Advenir, vous devez utiliser une offre commerciale portant la mention Advenir. Les bornes de recharge doivent avoir une capacité inférieure ou égale à 22 kW. Elles doivent être équipées d'un système de gestion de l'énergie.

    À partir de janvier 2020, les 3 000 premières copropriétés qui en feront la demande pourront bénéficier du programme Advenir 3 000 installations. Le financement est de 50 % du coût de l'infrastructure collective (hors installation de la borne de recharge), avec un plafond de 4 000 € par tranche de 50 places (au-delà de 50 places, ce plafond est augmenté de 75 € par place supplémentaire, jusqu'à un total de 15 000 €). Cette prime est cumulable avec la prime précédente et d'autres aides nationales ou locales jusqu'à un maximum de 80% du coût.

    N'hésitez pas à demander la prime directement sur le site advenir

    Il existe également des aides locales. Par exemple, les copropriétés parisiennes (syndicats et bailleurs sociaux) peuvent bénéficier de 2 aides cumulables avec les aides Advenir :

    La loi d'orientation des mobilités prévoit l'élargissement et la simplification du droit au raccordement au réseau électrique dans les copropriétés, ainsi que le renforcement des obligations de pré équipement et d'équipement de certains parkings en bornes de recharge.

    Si la procédure administrative peut sembler lourde, le règlement d'application est plutôt raisonnable. Si vous suivez correctement toutes les étapes, vous avez de bonnes chances de recevoir une réponse positive qui vous permettra de poursuivre votre travail. Le règlement, mis à jour début 2021, s'applique désormais à tous les parkings, qu'ils soient couverts, ouverts, clôturés ou non clôturés.

    Syndic de copropriété à Toulouse, des restrictions légales doivent être respectées avec l’installation de sa borne de recharge

    Tout le monde ne peut pas installer une borne de recharge dans son immeuble à Toulouse !

    Si vous voulez respecter la réglementation et ne pas vous attirer les foudres de vos voisins, vous devez tenir compte de certaines restrictions techniques lors de l'installation.

    Vos voisins ne paieront en aucun cas pour la recharge de votre véhicule électrique ! Conformément au décret ministériel 2011-873 du 25 juillet 2011, un compteur individuel doit être installé. Celui-ci mesure la quantité d'électricité consommée et la facture est établie directement à l'utilisateur. L'installation du terminal nécessitant un raccordement particulier par des parties communes, vous avez l'obligation d'informer l'assemblée générale des travaux, que vous soyez propriétaire ou locataire.

    Si vous êtes locataire à Toulouse, vous devez obtenir l'accord préalable du propriétaire en envoyant un plan ou un schéma de l'installation et une copie au syndic de copropriété, ainsi qu'une lettre détaillant les travaux à réaliser et accusant réception. Dans les trois mois de la réception de la demande, le copropriétaire notifie au syndic de copropriété la demande d'inscription de la question à l'ordre du jour de la prochaine assemblée générale.

    Si vous êtes copropriétaire, la notification sera envoyée directement au syndicat par lettre recommandée avec accusé de réception.

    Il est à noter que la saisine de l'assemblée générale des actionnaires n'a qu'un caractère informatif. Elle ne nécessite pas de vote. Elle ne doit pas retarder le projet d'équipement. Lorsque la prochaine assemblée générale est prévue après la date limite, le gérant rendra compte du travail déjà effectué.

    Borne de recharge électrique dans son immeuble ? préparez vos arguments !

    Si vous assistez à l'AG (ce que nous vous recommandons vivement), vous devrez préparer quelques arguments explicatifs pour les autres propriétaires de voitures qui ne sont pas forcément les plus "fantaisistes" des véhicules électriques. Du coût de la borne de recharge, à la durée de l'installation, en passant par des explications théoriques sur la voiture électrique, vous devrez peut-être revêtir une tenue de vendeur pour bien expliquer et " vendre " votre projet.

    Dans tous les cas, l'argument le plus fort est économique : tant en termes de consommation que d'installation, la borne de recharge ne coûtera pas un centime aux autres propriétaires !

    Le syndic de copropriété peut-il refuser l'installation ?

    Oui, mais il est obligé d'engager une procédure judiciaire. Après réception de la mise en demeure, le propriétaire ou le syndic de copropriété ne dispose plus que de trois mois pour refuser le projet, auparavant c'était six mois (Art R136-2 CCH).

    Le propriétaire ou le syndic de copropriété ne peut pas s'opposer à l'installation de fosses sans motif valable et légal. C'est notamment le cas s'il a lui-même décidé de réaliser les travaux dans un délai raisonnable ou s'il existe déjà des ouvrages existants (Art. L111-3-8 CCH).

    Tant que l'affaire n'est pas portée devant les tribunaux, le locataire peut réaliser les travaux dans un délai de trois mois après avoir mis en demeure le propriétaire ou le copropriétaire. Si l'association s'oppose aux travaux et ne s'exécute pas dans les six mois, le demandeur peut réaliser lui-même les travaux.

    En tant que propriétaire bailleur soumis a votre syndic de copropriété, vous êtes tenu de respecter certaines réglementations, notamment en matière de normes incendie, de dispositifs, d'accès pour les pompiers, etc.

    En effet, vous devez prendre les mesures nécessaires pour qu'en cas d'incendie, vous puissiez le combattre rapidement et efficacement, et sauver la vie de vos locataires.

    Quels sont les dispositifs à respecter pour les colonnes sèches ?

    L'article 98 de l'arrêté du 31 janvier 1986 relatif à la sécurité incendie dans les habitations impose le respect des colonnes sèches.

    Elles doivent être conformes à la norme française NFS 61-750 et doivent être installées à l'intérieur des sas, s'ils existent. Les règles concernant les colonnes sèches sont très strictes.

    Par exemple, le raccordement en eau de ces dispositifs doit être installé à 60 mètres maximum d'une prise d'eau normalisée. Il doit être situé sur une voie accessible aux véhicules de pompiers.

    Ce robinet permet aux pompiers de raccorder un tuyau depuis le camion de pompiers jusqu'à l'étage où se produit l'incendie. Ces tuyaux sont réservés aux pompiers. Ils sont les seuls à pouvoir alimenter le bâtiment en eau.

    D'autres obligations liées aux colonnes sèches doivent également être respectées :

    En effet, comme ces appareils permettent d'éteindre les incendies, ils doivent toujours être en bon état de fonctionnement.

    Des spécialistes à Toulouse vous proposent leurs services et leur savoir-faire pour installer, contrôler et réparer les colonnes sèches de votre habitation. Les spécialistes effectueront tous les tests de conformité nécessaires : tests hydrostatiques sans écoulement, ainsi que des tests hydrodynamiques avec de l'eau.

    De cette manière, vous pouvez être sûr que l'équipement est conforme aux normes et en état de marche. Comme vous le savez, ces grues, lorsqu'elles sont installées à l'extérieur, sont souvent sujettes au vandalisme.

    Elles doivent donc être contrôlées tous les trois mois par une inspection visuelle et tous les cinq ans par des tests hydrostatiques et hydrauliques. Avec l'expertise de professionnels et l’aide d’un syndic Toulouse, votre immeuble sera toujours protégé mais aussi vos locataires seront rassurés !

    Quelle est la différence entre une colonne sèche et une colonne humide ?

    Une colonne sèche dans un immeuble est une colonne dont l'intérieur n'est pas relié à une source d'eau. Les matériaux qui composent généralement ces types de colonnes sont le bois, le béton ou l'acier. Elles peuvent être utilisées pour supporter des charges ou pour abriter des câbles électriques ou encore des tuyaux. Une colonne humide est quant à elle connectée à un système d’alimentation en eau et peut contenir les différents tuyaux qui acheminent l’eau jusqu'aux différents appareils sanitaires de l’immeuble. Ces colonnes sont généralement faites en PVC, mais peuvent être aussi faites en grès, inox ou cuivre selon le type de résidence et son environnement proche.

    Colonnes sèches immeubles à Toulouse, quels sont les autres services ?

    N'oubliez pas qu'il existe d'autres dispositifs de protection contre les incendies. En effet, les techniciens peuvent également fournir et installer des extincteurs, des équipements de désenfumage et des portes coupe-feu. Ils proposent également d'autres services qui peuvent vous intéresser, comme la gestion des risques sanitaires, les défibrillateurs et peuvent même se charger de la dératisation de votre immeuble à Toulouse. Avec l'aide d'une entreprise spécialisée et expérimentée, il vous sera plus facile de protéger votre bâtiment.

    Attention, les colonnes sèches doivent subir trois types de tests.

    Le premier est le test lors de la réception d'une nouvelle installation. Il est également obligatoire lorsque certaines parties d'une colonne sèche seront remplacées en raison de dysfonctionnements.

    Notez que ce test est similaire à celui qui a lieu tous les trois mois. Le principe est de vérifier la stabilité de la pression. La pression doit être de 25 bars maximums. Toutefois, un écart de 0,5 est autorisé.

    Le test a également pour but de détecter d'éventuelles fuites. Ces dernières entraînent une perte de pression. Un technicien qualifié aura besoin de 20 minutes pour réaliser ces tests.

    Vient ensuite le test hydrostatique à débit nul, qui est effectué chaque année. Plusieurs conditions doivent être remplies pour qu'il puisse être réalisé. Entre autres, la pression d'alimentation en eau du système d'alimentation en eau de la colonne doit être de 20 bars. Le système doit ensuite être placé sous l'eau. Comme le test précédent, l'épreuve hydrostatique à débit nul ne dure que 20 minutes.

    Enfin, tous les 5 ans, les colonnes sèches doivent subir un test de débit hydraulique. Pour ce test dynamique, la pression d'entrée de la colonne doit être inférieure ou égale à 15 bars.

    En outre, l'essai ne sera effectué que sous l'eau. En outre, les débits nominal et minimal sont vérifiés à la sortie la plus défavorable.

    Installer des colonnes sèches à Toulouse, qui contacter ?

    Les personnes qui installent des colonnes sèches à Toulouse et sa région sont appelées des testeurs de colonnes sèches professionnels. Outre l'installation de colonnes sèches, ils sont chargés d'effectuer des contrôles techniques du bâtiment.

    Pour devenir vérificateur professionnel, vous devez suivre une formation qualifiante répondant aux normes NF S61-759 et NF S62-200. La première norme concerne l'entretien des colonnes sèches. La seconde régit l'entretien des bouches et poteaux d'incendie.

    Au cours de la formation, l'apprenti apprendra également à manipuler du matériel professionnel comme des pompes d'essai haute pression, un bouchon d'essai pour colonne sèche ou encore un tuyau de refoulement de pompe d'essai.

    Après l'examen écrit, l'apprenti doit passer un examen pratique. A l'issue de ces deux examens, il recevra un certificat de capacité et deviendra un professionnel du domaine.

    Quelles sont les autres normes de sécurité contre les incendies pour les immeubles en France ?

    En France, des Normes de Sécurité contre l'Incendie sont appliquées afin de protéger les personnes et les biens contre le risque d'incendie. Ces normes comprennent la prévention et la protection incendie des bâtiments, ainsi que la prise en compte des différents moyens de secours disponibles. Les établissements recevant du public (ERP) comme les immeubles de grande hauteur doivent respecter des exigences supplémentaires en matière de prévention et de protection incendie.

    Ces obligations se retrouvent dans le Code de la Construction et le Règlement Incendie (RIS). Dans ces bâtiments, il est notamment nécessaire d'installer un système anti-incendie avec alarme et signalisation appropriés, des robinets d’incendie armés et prêts à l’emploi, des dispositifs fixes ou mobiles pour couper l’alimentation en eau potable sur toutes les parties du réseau susceptible d’être alimentée par accident, des moyens matériels adaptés au type d'activité et à sa superficie, etc.

    Des services comme le Service Interministériel des Sapeurs-Pompiers (SISP) peuvent former les occupants sur les consignes de sûreté à adopter en cas de sinistre tandis que le Service Interentreprises des Activités Périlleuses (SIAAP) peut effectuer des vérifications pour le bon fonctionnement du système. Des professionnels qualifiés peuvent également travailler sur ce type d'installations afin d'assurer une première intervention efficace si un début d'incendie est constaté.

    Face à la canicule, la rénovation thermique reste la meilleure arme

    CLIQUEZ-ICI

    Les prix des biens avec piscine s'envolent !

    CLIQUEZ-ICI

    Canicule : comment rafraîchir sa maison efficacement ?

    CLIQUEZ-ICI

    Impôts et LMNP : le statut de loueur en meublé est-il toujours intéressant ?

    CLIQUEZ-ICI

     

     

    Maisons à vendre : J - 60 avant l’audit énergétique obligatoire

    CLIQUEZ-ICI

    crossmenuchevron-down-circle linkedin facebook pinterest youtube rss twitter instagram facebook-blank rss-blank linkedin-blank pinterest youtube twitter instagram